J’ai déjà répondu à cette question sur la page À propos et rapidement ici. 😉

L’envie m’a passé après environ deux semaines! 😉

J’ai déjà répondu à cette question sur la page À propos. 😉

Au départ, c’était uniquement l’élimination des déchets physiques/visibles. Avec le temps, j’ai une vision plus globale de la chose. D’ailleurs, le terme anglais Zero Waste est mal traduit. « Waste », en anglais, ça peut aussi bien désigner les déchets physiques que le gaspillage de façon générale. Il faudrait renommer plus justement en le mouvement en français pour clarifier ça!

Désormais, il y a aussi le mouvement « Low Waste », mais encore… pas évident de traduire ça en français!

Sinon, en gros, le mode de vie zéro déchet est une façon positive, concrète et accessible à tous (à différents niveaux) d’agir dans la lutte aux changements climatiques sur le plan individuel. Toute est une question d’équilibre, et ça passe inévitablement par du essai-erreur. Je revois mes limites au besoin et, surtout, j’essaie de ne pas culpabiliser d’en avoir! Bien sûr, il faut s’adapter aux circonstances du moment : on a tous des hauts et des bas!

Nope, juste le gros bon sens.

Si je m’en suis sortie pas si mal en ayant aucun revenu pendant deux ans, j’imagine que non. En fait, c’est qu’on dépense plus pour certaines choses et moins pour d’autres, alors ça fini par revenir plus au moins au même.

Par exemple, mes dépenses en alimentation (excluant le resto, luxe occasionnel en ce qui me concerne) ont légèrement augmenté, mais ça a diminué du côté des produits corporels et ménagers. Sans oublier que les achats imprévus sont très rares parce que je magasine très peu. Lorsque je le fais, c’est en friperie la grande majorité du temps, car c’est plus écologique et, vous l’aurez deviné, plus économique! 😉

Peut-être trouverai-je un jour la motivation de faire des calculs et d’écrire un article sur le sujet!

Pas vraiment. Ça dépend de son système d’organisation et de ses priorités.

Dans mon cas, je passe au maximum 30 minutes à l’épicerie par semaine pour ce que je n’achète pas en vrac (voir question suivante). Même chose pour mes achats en vrac, mais là, c’est une fois par mois, mais 15 minutes et c’est fait (détail important : j’achète pour une seule personne, c’est très différent pour une famille et si on habite à l’extérieur de Montréal).

Aussi, je fais partie des paresseux du mouvement zéro déchet. Je ne fabrique aucun produit corporel ou ménager, à l’exception de mon nettoyant tout usage. Pourquoi se compliquer la vie quand on peut simplement acheter des produits locaux en vrac (évidemment, ça s’appliquent juste à ceux qui ont de l’offre en vrac dans leur coin, c’est-à-dire de plus en plus de gens)? 😉

Je vous rassures : mon bac de recyclage n’est pas vide. Je le partage avec trois autres personnes, mais je contribue très peu à son remplissage.

Si vous voulez voir mes bilans zéro déchet, c’est par ici! J’ai arrêté de faire cet exercice parce que ça ne m’apporte plus rien, mais si ça peut vous inspirer…

Par où commencer?

1. Je réduis mes déchets, pas ceux de Madame Minou;
2. Même si je trouvais la litière la plus écolo au monde et vendue en vrac ever… si Madame Minou ne l’aime pas, on n’est pas plus avancés;
3. La toilette, que ce soit de vider le contenu de la litière dedans ou d’entraîner votre chat à aller dessus, c’est NON;
4. Y’a beaucoup de choses tellement plus faciles à changer que ça!

Pour le reste en ce qui concerne les chats, je vous invite à lire cet article qui résume comment j’essaie tout de même de réduire les déchets de Madame Minou (et où j’élabore plus sur le sujet de la toilette).

Oh, et j’ai aussi un article pour les chiens. 😉

Pour l’alimentation, je suis allée chez Frenco de septembre 2013 à avril (ou mai?) 2018. Des mois de septembre 2018 à juin 2019, j’allais chez Biothentique parce que j’y travaillais. J’ai recommencé à faire mes achats chez Frenco en août 2019 (j’ai pris quelques semaines pour faire du ménage dans mon garde-manger 😉 ) pour finalement aller chez Méga vrac.

Tout simplement parce que ça ne répond pas à mes besoins pour le moment.

J’ai utilisé des pots de beurre d’arachides de Kraft (récup!) pour le sec (grains, sucre, cacao, etc.) pendant quatre ans. J’utilise maintenant des sacs en coton pour les aliments qui ne sont pas trop fins, et des contenants en verre ou en plastique pour ce qui est fin (ex. farine).

Pour les fruits et les légumes, j’utilise des filets conçus à cet effet, tout simplement!

Pour les liquides, j’utilise des bouteilles en verre hermétiques (pour les huiles) et je réutilise mes bouteilles pour les savons (shampoing, lessive, mains, vaisselle). Pour le beurre d’arachide et le tahini, j’utilise simplement un pot Mason à grande ouverture (ça aide à faire moins de dégâts, haha!)

Je réutilise surtout des pots en verre récupérés dans mon bac de recyclage (et ceux de mes parents et de mon grand frère). J’ai aussi quelques contenants en verre hermétique et des pots Mason trouvés en friperie ou que mon père m’a donnés.

Je sais que faire son propre lait d’amandes est facile et rapide, mais toujours faut-il trouver une grande quantité de noix pour un bon prix quelque part! Et comme je n’ai pas de voiture et que j’ai peu d’espace de stockage, acheter de grosses poches d’amandes ne m’intéresse vraiment pas pour le moment. De plus, comme je suis végane, je préfère consommer des produits enrichis que d’acheter plein de pots de vitamines et minéraux.

Ah pis maintenant, je bois principalement le lait de soya de Natura, un produit québécois. 😉

La coupe menstruelle.

Ce bidule est merveilleux.

Ce bidule a changé ma vie : fini les changements de draps au milieu de la nuit!

#poète

N’ayant pas eu un horaire très stable depuis quelques années, je n’ai pas de journée « typique ». J’ai donc toujours beaucoup de difficulté à répondre à cette question.

En ce qui concerne mon implication environnementale, dans l’ordre (et c’est personnel à chacun, hein!) : véganisme, zéro déchet, minimalisme, local, biologique.

De ce côté-là, je trouve que j’ai beaucoup de chance : les gens les plus près de moi sont très ouverts d’esprit. Ça a donc été assez facile de changer mes habitudes. Par contre, si votre situation est différente de la mienne (ce qui est plus que probable), je vous suggère de lire mes conseils pour affronter les critiques de votre entourage.

Pour le zéro déchet, comme je fais mes achats en vrac dans une boutique où je sais que mes contenants sont acceptés*, je n’ai jamais eu de confrontation avec un commerçant.

*Pour trouver des commerces qui acceptent vos contenants, consultez le Circuit zéro déchet!

Il m’est arrivé qu’on me reconnaisse quand j’allais mensuellement chez Frenco ou dans des évènements sur le zéro déchet. #2minutesdegloire

J’ai abordé le sujet dans cet article.

À l’exception de deux conférences pour lesquelles j’ai été payée (et j’ai dû négocier pas mal pour une d’entre elles afin d’être payée!), non. Sauf pour un partenariat avec l’Arrondissement de Saint-Laurent en octobre 2019 (promotion d’un évènement environnemental).

Je reçois des produits à l’occasion (#produitoffert), mais je n’ai pas été payée pour présenter ceux que j’ai présenté (cette phrase me fait mal aux yeux, mais j’arrive pas à mieux formuler 😅).

Sinon, je suis affiliée depuis 2018 avec Les libraires, mais je n’ai pas encore reçu d’argent de ce côté. Mes liens affiliés se retrouvent majoritairement dans la section Livres de la page Ressources du blogue.

Et pour terminer sur ce point, j’explique plus en détails pourquoi, d’après mon expérience, il est difficile d’avoir un revenu (aussi minime soit-il) avec un blogue écolo dans l’article Passer le flambeau avant de se brûler.

Pas pour le moment. Je n’ai pas envie de gérer des textes invités qui pourraient remplir ma boîte de courriel de demandes de collabos (« Ah, Julie accepte des textes de lectrices maintenant, je vais lui en proposer un! »).

Si jamais je décide d’avoir des collaboratrices ou des blogueuses invitées, je vais en faire l’annonce (et le cas échéant, ce sera ouvert à toutes et tous). 😉