On parle beaucoup de l’impact du dioxyde de carbone (CO2) sur le réchauffement climatique, mais il existe un gaz beaucoup plus dangereux : le méthane.
Comme je ne suis pas une grande scientifique, je vais laisser Charles Tisseyre vous expliquer les enjeux entourant ce gaz. #fascinant
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En gros, il s’agit d’un gaz inflammable de plus en plus présent dans l’atmosphère… Ça sent pas bon (mauvais jeu de mots non voulu – tsé, les gaz de ruminants)!
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Imaginez si la Sibérie se réchauffait au point que les terres ne seraient plus gelées : ce serait un méchant problème! Les scientifiques (ni personne, d’ailleurs) ne peuvent prévoir les conséquences que cela engendrerait, mais on s’entend pour dire que ce serait explosif (au moins un peu), comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous :
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Exemple de ce qu’on peut faire si on est en Sibérie et qu’on a du feu (et qu’on est un peu casse-cou). Essayez d’imaginer ça à plus grande échelle… ça fait peur!
Bref, en diminuant notre production de déchets et en diminuant notre consommation de viande et de sous-produits animal, on peut aussi diminuer la quantité de méthane relâchée dans l’atmosphère. Sinon, bah… y’a de bonnes chances qu’on la vive, cette apocalypse tant annoncée (et toujours repoussée)!
Hum… C’est en effet bien inquiétant (et c’est une drôle et belle de coïncidence de faire ça le jour de la première neige 🙂 ) Et en effet, ne plus manger de viande, c’est une belle et charmante façon de diminuer les émanations… Et ça motive à le faire changer les autres, parce qu’à plein, on fera vraiment une différence!
Ca fait peur !