Dernière mise à jour : 24/10/2019
Contrairement à l’année dernière, je ne retourne pas sur les bancs d’école cet automne. En effet, j’ai terminé mon certificat en rédaction professionnelle cet été avec un stage au département des communications de la mairie de mon arrondissement, Saint-Laurent.
Comme j’étais étudiante pendant la dernière année et que c’était la première fois que je devais penser à tout ce que ça implique avec une optique zéro déchet, je peux enfin aborder le sujet ici. Évidemment, j’aurais pu faire des recherches et faire un ramassis d’articles venant d’autres blogues, mais je préférais vivre la chose moi-même pour aborder le sujet. J’ai aussi travaillé en même temps, alors j’ai essayé de faire de mon mieux de ce côté-là aussi.
Sans surprise, mes trucs s’adressent aux cégépiens/collégiens, aux universitaires et aux travailleurs (j’ai quand même pensé aux élèves du primaire au bas de l’article, il faut donc lire jusqu’à la fin 😉 ).
Je vous avertis tout de suite : Google est pas mal mon meilleur ami!
L’organisation
Les listes
Todoist
Ça doit déjà faire presque deux ans que j’utilise la version gratuite de Todoist, et c’est probablement une de mes applications préférées. Pouvant être utilisée autant sur ordinateur que sur téléphone intelligent, cette application permet de créer des projets et des sous-projets (et même des sous-sous-projets!) dans lesquels on peut créer différentes to-do lists. Il est possible de se fixer un objectif quotidien (c’est-à-dire le nombre de tâches que vous aimeriez accomplir chaque jour), définir des jours de repos et mettre l’application en mode vacances afin de protéger votre score journalier.
Plus vous cochez de tâches, plus vous accumulez des « points de karma ». Bon, ces points ne servent pas à grand-chose, si ce n’est que de donner un minimum envie de ne pas remettre son score journalier à zéro.
Google Keep
Plutôt que d’accumuler les post-it partout sur son bureau, pourquoi ne pas tous les regrouper virtuellement au même endroit? Avec Google Keep, c’est chose faite! On peut créer de simples notes, des listes à cocher et épingler au haut de la page les notes importantes ou qu’on consulte le plus souvent. On peut même programmer des rappels sur les notes qu’il ne faut vraiment pas égarer. Des images et des dessins peuvent aussi être ajoutés à vos mémos.
Je m’en sers particulièrement pour mes listes d’épicerie (j’en ai une pour les achats hebdomadaires et une autre pour les produits que j’achète en vrac à la fin du mois), mais plusieurs notes diverses les côtoient.
Les horaires
Google Agenda
J’ai longtemps utilisé un agenda papier, mais ce temps est révolu depuis que j’ai modernisé mes ordinateurs et mon téléphone intelligent. Maintenant, je ne jure plus que par Google Agenda.
Cet outil n’est un secret pour personne (je sais, je suis en retard sur ce point-là), mais il reste que c’est franchement bien fait et organiser ses journées devient un jeu d’enfant. Moi qui aimais faire des codes de couleurs pour mes différentes obligations et mes trop nombreux projets, je suis servie : non seulement je peux faire des codes de couleur, je peux carrément gérer plusieurs agendas au même endroit… dans lesquels je peux faire encore plus de code de couleurs! #lerêve
La gestion de projet
Google Sheets
J’ai longtemps galéré pour trouver la meilleure façon de regrouper toutes mes idées d’articles, de pages et mon calendrier de publication pour le blogue. J’avais trouvé mon bonheur en Excel, mais après m’être familiarisé avec tous les outils qu’offre Google, j’ai décidé de tout centraliser au même endroit. J’utilise donc Google Sheets pour gérer ma plateforme : c’est comme Excel, mais accessible de partout avec une connexion internet.
J’ai essayé Trello pendant quelques jours, mais je n’ai pas poussé mon exploration de cet outil très loin. Ça semble toutefois être une bonne option si on prend le temps de se familiariser avec.
La prise de notes
À la main
À la session d’automne 2016, soit ma première session universitaire, c’est l’option que j’ai choisie parce que c’est ce à quoi j’étais habituée. Pour ce faire, j’ai essayé de récupérer autant de papeterie que possible. Heureusement pour moi, il y en avait plus qu’assez qui traînait encore dans le sous-sol de mes parents : feuilles lignées, cahiers Canada, cartables, name it!
Je n’ai eu que quelques crayons à acheter (individuellement, pour éviter les emballages inutiles), quelques recueils de notes (qui étaient emballés dans une pellicule en plastique plutôt que d’être reliés…) et les livres obligatoires. Idéalement, j’aurais dû essayer d’acheter ces derniers d’occasion (autant pour des raisons écologiques qu’économiques), mais comme ma rentrée était précipitée, je n’ai pas pris le temps de faire la recherche que ça demande (une autre raison qui fait de moi une écolo imparfaite!).
Sinon, pour les petites notes à prendre ici et là, je réutilise au maximum tous les bouts de papier qui me tombent sous la main. Rien de révolutionnaire, mais je suis d’avis que les rappels ne font jamais de tord!
Numérique
Étonnamment, moi, la fille qui aime tant écrire à la main, je me suis convertie à la prise de note sur ordinateur à l’hiver dernier. En créant des documents avec Google Docs que je classais ensuite par dossier pour chaque cours sur Google Drive, je m’y retrouvais plus facilement et je n’oubliais jamais mes notes.
Un autre avantage de Google Drive est que mes notes m’étaient accessibles en tout temps, peu importe l’appareil que j’utilisais, puisque tout est synchronisé en temps réel. l’époque où on perdait du temps à copier des fichiers sur des clés USB est terminée. D’ailleurs, c’est bien pratique lorsqu’on est en visite chez ses parents, mais qu’on a tout de même des travaux à remettre le lendemain!
La grande majorité de mes professeurs donnaient uniquement leur plan de cours et leur recueil de notes en version numérique. On pouvait les imprimer au besoin, mais je ne l’ai évidemment pas fait. En plus de l’économie de papier, cela m’a évité l’utilisation de stylos et de surligneurs qui sont souvent difficiles à recycler (Bureau en gros a un programme de récupération : vérifiez si la succursale la plus près de chez vous y participe!).
Les lunchs et les collations
De ce côté-là, afin d’éviter de me répéter, je vous invite à (re)lire mon article sur le sujet ici. Par contre, je vais vous donner un truc bonus : réutiliser les contenants utilisés pour transporter votre lunch pour rapporter vos matières organiques pour les composter chez vous s’il n’y a pas de collecte sur votre lieu de travail ou d’étude.
Pour aller plus loin
- Informatique écologique – Mes trucs pour utiliser Internet et imprimer intelligemment
- Les coûts réels de la «gratuité» scolaire et mes astuces pour réduire vos dépenses – Tendance Radis
- Astuces pour une rentrée (un peu plus) écolo – Les trappeuses
- Rentrée scolaire zéro déchet – Économie et cie
- I’m A Zero Waste Girl In A Corporate World – Trash Is For Tossers
- Zéro déchet au bureau – Sempervivum
- Zéro déchet, même au boulot – Journal de Montréal
- 15 petits gestes pour être plus écolo au bureau – Vivre sans cruauté
Rétrolien Vers le minimalisme numérique | Écolo imparfaite
Rétrolien Zéro déchet : les points à améliorer en 2017 – LE BLOG DE JULE
Bonjour Julie, merci pour ces suggestions, il y en a quelques-unes que je ne connaissais pas et j’ai Google sur mon téléphone 🙂
il y a une petite coquille dans ton texte (c’est le moment d’utiliser le «mode révision»). Bonne journée!